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De gauche à droite: Sylvie Leroux, Jonas Germana, François East, Nancy Laliberté, Henri Derome, Elyse Théorêt, Patrick Turcot.
Absents de la photo: Annie-Claude Gagnon, Patrick Roy et Jean-Philippe Leblanc
Jean-Philippe Leblanc
Guide et instructeurs pour les Karavaniers
Jean-Philippe est un aventurier aguerri à la feuille de route impressionnante. À son actif, il a participé à plus d’une trentaine de voyages internationaux où il a agit comme chef d’expédition professionnel. Il est habitué aux expéditions engagés, il a guidé 12 groupes au-dessus de la barre des 6 000 m et 2 groupes au-dessus du cercle polaire arctique. Son plus grand bonheur? Ce sont les rencontres qu’il fait. À quoi bon gravir des montagnes si ce n’est que pour ressentir la fierté d’être au sommet? Passe-t-on à côté de l’essentiel à n’avoir que le sommet comme but? C’est lors de moments intenses, où l’émotivité est très présente que les habiletés humaines de Jean-Philippe et son leadership naturel s’expriment le mieux. Bref, lorsque vous êtes face aux vents, lui, il se sent chez lui. C'est d'ailleurs le fondateur de Face Aux Vents. C'est un guide engagé auquel nous faisons entièrement confiance.
Éducatrice en réadaptation sociale au Centre jeunesse de Montréal - Institut universitaire
Il y a un peu plus de quatre ans, j’ai inscrit sur ma liste imaginaire de choses à réaliser dans ma vie : gravir une montagne, une grosse! Le simple fait penser que c’est quelque chose que je voulais vraiment faire et que j’allais le faire était excitant. Il y a six mois, j’ai reçu l’invitation à grimper l’Illimani. C'était un peu comme m’offrir un rêve sur un plateau d’argent, ça ne se produira pas deux fois! De fils en aiguilles, j’ai investi du temps de l’énergie à la réalisation de ce projet. Comme plusieurs choses dans la vie, la première motivation est égoïste. Mais, le plus gros du travail et le plus beau dans cette aventure, c’est la Fondation du CJM. Chaque cents aidera plusieurs familles dans le besoin et ce, de façon personnalisée. Le projet de grimper une montagne est un accomplissement personnel. Toutefois, avant de se rendre au pied de l’Illimani, j’aurai une montagne d’argent à remettre à des enfants qui vivent au quotidien des défis immenses et qui ont des préoccupations inhabituelles pour leur si jeune âge. Comme les tout petits de la DPJ, notre randonnée repoussera nos limites et notre connaissance de nous-mêmes. Nous avons choisi de se mesurer à cette épreuve, mais gardons en tête que ces enfants sont soumis à des épreuves qu’ils ne devraient pas vivre, et ce au quotidien. Ce projet pourrait se transformer en accomplissement social... Pourquoi pas?
Un grand merci!
Henri Derome
Directeur des services administratifs, Centre jeunesse de Montréal-Institut universitaire
Comblé par une première expérience, je me lance pour une deuxième fois dans cette aventure merveilleuse de collaborer avec des gens extraordinaires et d'aider nos tout-petits de la DPJ. Cet engagement est beaucoup plus qu'une levée de fonds car nous devons mettre au défi nos capacités physiques et psychologiques. C'est aussi une aventure qui vient avec son lot de sacrifices personnels et familiaux. Nos objectifs de levée de fonds sont aussi une préoccupation de tous les jours qui ne fait que s'accentuer à l'approche du grand défi du sommet des tout-petits de la DPJ prévu pour le mois d'août 2013. Mais pourquoi donc fait-on tout cela?
On fait cela parce que nous sommes un groupe engagé et heureux de l'être. Nous sommes un groupe pour qui ce genre de défi est une motivation pour grandir humainement. Nous sommes un groupe qui finalement relativise ces petites souffrances à celles vécues par ceux et celles que nous voulons aider. Nous sommes un groupe qui embrasse les bienfaits de la mission de la Fondation du Centre jeunesse de Montréal. En fait, nous voulons contribuer à notre société et faire une différence pour tous ces petits enfants qui vivent un départ difficile. Nous voulons leur donner l'espoir, leur enseigner à croire à la grandeur humaine. Nous voulons leur demander de prendre le relais pour que leurs propres enfants vivent dans un monde meilleur. Nous voulons les aimer.
Nancy Laliberté
Travailleuse sociale, équipe Évaluation/Orientation, à la DPJ du Centre jeunesse de Montréal - Institut universitaire
Je travaille à la DPJ depuis bientôt dix ans. Trop souvent, je ressens un sentiment d'impuissance face à l'ampleur des problématiques auxquels certains enfants font face. Ils les affrontent malgré eux, pas à pas, aussi petit soit-il. Pourtant, les défis demeurent immenses. Je m'inspirerai de ces enfants lors de l'ascension de l'Illimani.
D'ailleurs, étant moi-même mère de deux tout-petits, j'ai le désir de m'impliquer plus activement. Je m'engage à fond dans ce projet, car je crois que chaque enfant devrait avoir droit à ce qu'il y a de mieux dès les premières années de leur vie qui sont si déterminantes. Nos enfants, c'est notre avenir ! Ensemble, nous pouvons faire une différence.
Aux noms des tout-petits de la DPJ, je vous dit MERCI !
Merci de nous aider à les aider.
Elyse Théorêt
Adjointe clinique, équipe enfance 2, Centre jeunesse de Montréal - Institut universitaire
Lorsque j’ai vu le dernier message du Centre jeunesse qui recherchait de nouveaux grimpeurs pour le Sommet des tout-petits, je me suis dit « j’y vais ». Cette fois ci, je ne voulais pas voir défiler l’action devant moi mais bien être au cœur de cette dernière.
Il y a plus de 25 ans, j’ai choisi cette profession pour tenter d’aider ces enfants et voir à les protéger. Depuis, j’ai en tête de nombreux visages, bien des sourires mais aussi des yeux éteints, des petites frimousses au corps et à l’âme blessés, des parents aux prises avec leurs lots de difficultés qui eux aussi ont été des enfants négligés.
Il m’est préoccupant de constater que nous ne partons pas tous dans la vie avec la même chance. Personnellement, j’ai eu le privilège de recevoir beaucoup d’amour de la part de mes parents et mes deux enfants sont ce que j’ai de plus précieux.
Je n’ai pas de baguette magique mais j’ai l’espoir. Je grimperai en ayant en tête tous les besoins de ces enfants, en ayant dans mon cœur toute votre générosité à leur égard.
Au nom des tout petits, je vous remercie pour vos dons.
Jonas Germana
Chef des services techniques Secteur 1 au Centre jeunesse de Montréal - Institut universitaire
Chers amis,
Dès ma troisième semaine d'embauche au CJM -IU, j'ai rencontré M. Turcot qui revenait de Chaupi Orko. Je lui ai demandé la raison de cette aventure et il m'a expliqué brièvement que c'était pour venir en aide aux enfants de la DPJ de 0 à 5 ans. Il n'en fallu pas plus pour me convainvre! Voyez-vous, je suis père de 3 enfants et j'ai moi-même été en famille d'accueil pour une courte période lorsque j'étais plus petit. Par conséquent, je suis en bonne position pour comprendre l'importance des premières années de vie d'un enfant. D'autant plus que l'on ne choisi pas nos parents... Bien sûr j'ai du négocier ce projet avec ma tendre moitié (Annick) et à la seconde qu'elle m'a donné l'aval pour ce projet je me suis joint à cette superbe équipe et je suis motivé plus que jamais pour contribuer à ce projet.
Illimani nous voici!!!
Patrick Roy
Pilote de Ligne chez Jazz Aviation
L’enfance est la période de notre vie ou nous rêvons de choses que nous tenterons de réaliser à l’âge adulte. Nous nous devons, comme société, de tout mettre en oeuvre pour permettre à ces touts petits de rêver, eux aussi. Lors de la montée du Mont Illimani, je réaliserai un de mes rêves que je veux partager avec tous ces enfants et semer un peu d’espoir qu’ils garderont, je l’espère, dans leur coeur leur vie durant.
M’encourager, c’est aussi les aider !
Trésorier, Garda
Je pensais que l’effort physique qu’avait demandé l’ascension du Chaupi Orco en 2011 aurait suffi à combler mon goût du défi. Hé non, je suis de nouveau partant pour cette belle aventure qui nous mènera vers le sommet de l’Illimani.
La montagne et le dépassement de soi sont une grande source de motivation personnelle. Tout aussi important, est l’aide que l’on va pouvoir donner aux enfants à travers ce beau projet.
Les expériences difficiles qu’ont vécu les enfants de la DPJ ne peuvent être effacées, mais avec votre aide ainsi que celle de la Fondation, nous pouvons faire en sorte que ces enfants, « nos enfants », puissent grandir heureux, en santé et devenir un jour des membres productifs de notre communauté.
Patrick Turcot
Adjoint de direction, DSSSJC, Centre jeunesse de Montréal-Institut universitaire
Le défi sportif ou la cause? Je ne sais pas quel aspect a eu la préséance lors du premier sommet en 2009 de l’Acotango. Chose certaine, pour le Chaupi Orko en 2011 et cette fois-ci pour l’Illimani prévu en août 2013 cela ne fait plus qu’un.
Issu d’une famille de 10 enfants et père à mon tour de 4, je suis maintenant un heureux grand-père. Ceci me permet de réaliser la chance inouïe que j’ai d’avoir autant de liens d’amour autour de moi et de l’importance des premières années de vie pour tout enfant.
À nos petits de la DPJ, je souhaite que notre projet déplace pour eux des montagnes, car ils doivent injustement affronter des sommets difficiles dès leur arrivée parmi nous. Vos donc et notre implication auprès d'eux peuvent mettre un peu de douceur dans leurs parcours injustement ardus.
Sylvie Leroux
Coordonnatrice de projet, design d'intérieur
J’avoue que l’idée de monter avec le groupe m’intéressait sérieusement depuis quelque temps. J’accompagnais le groupe lors des pratiques et j’ai été vite séduite par toutes les personnalités extraordinaires ainsi que par le dévouement et l’engagement de chacun d’entre eux. Je vois la possibilité de participer à un tel projet comme un privilège que la vie m’offre. Je suis inspirée par l’opportunité d’aider non seulement nos petits-enfants défavorisés, mais aussi ceux qui vivent en Bolivie car notre projet ne les oublie pas. De plus, je participe à cette aventure avec mon mari, des souvenirs mémorables resteront gravés dans notre carnet de mémoire pour la vie.
« Nous réalisons que ce que nous accomplissons n’est qu’une goutte dans l’océan. Mais si cette goutte n’existait pas dans l’océan, elle manquerait » - Mère Teresa
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